Brûler comme un rondin de bois massif
« Mieux vaut brûler comme un rondin de bois massif que de se consumer lentement, comme une bûche de sciure compressée », me dit, dans un bourdonnement tranquille, le Maréchal de l’Âtre qui fait feu de tout bois, toute la semaine de l’automne au printemps, dimanches et jours fériés compris.
« Mieux vaut brûler comme un rondin de bois massif que de se consumer lentement, comme une bûche de sciure compressée », me dit, dans un bourdonnement tranquille, le Maréchal de l’Âtre qui fait feu de tout bois, toute la semaine de l’automne au printemps, dimanches et jours fériés compris.
Artisanat de recyclage, le feu de la passion
la Bennisterie, atelier bordelais spécialisé dans la fourniture de plateaux épais et secs, pensés pour durer — que ce soit pour une table de cuisine personnalisée, un mange-debout sur mesure, ou une décoration murale avec une charte graphique intégrée. J’entretiens le feu de la passion en m’engageant pleinement dans ce que j’entreprends.
Bienvenue sur Le Boiseux.fr, espace en ligne de la Bennisterie, atelier bordelais spécialisé dans la fourniture de plateaux épais et secs, pensés pour durer — qu'il s'agisse d'une table de cuisine personnalisée, un mange-debout sur mesure, ou une décoration murale, tous capables d’accueillir une charte graphique. Je suis Le Boiseux, artisan du bois de récupération ; j’entretiens le feu de la passion en m’engageant pleinement dans les commandes que je reçois.
Un bois qui répand sa chaleur
Selon le Maréchal de l’Âtre, la vie n'est ni une bûche de pin qui s'enflamme et se réduit en cendre aussitôt, ni une brique de bois densifié qui se consume comme une cigarette oubliée. Elle doit être comme la chaleur d’un bloc de chêne, épais sec, qui monte en température avant de flamber ; et quand les flammes s’éteignent, les braises continuent à répandre leur chaleur un bon moment. Je vous raconte.
Selon le Maréchal de l’Âtre, la vie n'est ni une bûche de pin qui s'enflamme et se réduit en cendre aussitôt, ni une brique de bois densifié qui se consume comme une cigarette oubliée. Elle doit être comme l'ardeur d’un bloc de chêne, épais et sec, qui monte en température avant de flamber ; et quand les flammes s’éteignent, les braises continuent à répandre leur bienfait un bon moment.
Un murmure dans la fonte
Devant moi, le plateau à façon, destiné à couronner une table de réunion, est prêt, pour ainsi dire : les planches sont là, rabotées, calibrées. Mais je ne les touche pas. La colle ne prendrait pas. L’air est comme vide. Moi aussi. Quand le froid s’installe, tout se fige. Les gestes, les pensées. On attend que quelque chose cède.
Le froid est partout. À l’atelier, il est une présence constante, qui s’accroche aux murs, aux planches de palettes, à mes mains. L’hiver entre et ne s’en va pas. Je le ressens dans mes gestes, dans les outils que je saisis. L’air est lourd, presque palpable, saturé de poudre de bois qui danse dans la lumière pâle des fenêtres brisées. Il y a un silence. Tout semble suspendu. « Aujourd’hui, c'est un jour sans… » dirait Boby La Pointe.
Devant moi, le plateau à façon de Stanislas, destiné à couronner une table de réunion, est prêt, pour ainsi dire : les lames sont là, rabotées, calibrées. Mais je ne les touche pas. La colle ne prendrait pas. L’air est comme vide. Moi aussi. Quand le froid s’installe, tout se fige. Les gestes, les pensées. On attend que quelque chose cède.
Je me tourne vers le poêle. Il est là, dans un coin, fidèle. Le feu tarde. Les flammes vacillent, faibles encore. Un murmure dans la fonte. « Que la chaleur se propage vite. Qu’elle m’enveloppe. Qu’elle m'aide à avancer sur le chantier…» Dans mon for intérieur, j’implore les éléments. Mais tout reste en attente.
Le Maréchal de l’Âtre : son sang-froid chemine en nous
Je me tais. Il parle de moi. De cette part de moi qui voudrait aller plus vite. Mais je le laisse dire. Je regarde la chaleur qui monte, lentement, dans l’atelier. J’attends les dix degrés qui changeront tout. "Et puis il y a les autres", poursuit-il. "Ceux qui brûlent lentement. Comme un rondin épais. Leur feu, tu le sens avant de le voir. Il monte doucement. Et quand il est là, il réchauffe longtemps."
C’est dans ces moments-là que le Maréchal de l’Âtre apparaît. Toujours. Sa présence seule irradie, avant même que la chaleur ne gagne l’air.
On dirait qu’il s’est toujours tenu là, enfoncé dans le fauteuil des invités surprises, en bordure d’ombre. Un tison qui refuse de s’éteindre. Il ne dit rien tout de suite. Il veille.
« Moi, je brûle lentement », dit-il, devinant mon impatience. « Ce n’est pas une flamme vive. C’est une braise discrète. Mais elle dure. »
Je tends mes mains vers le feu. Il n’élève jamais la voix. Ses mots portent. « Tu comprendras, un jour... », ajoute-t-il en souriant. Il sait que son sang-froid doit cheminer en moi.
« Il y a ceux qui se consument vite. Trop vite. Ils vivent comme des étincelles. Un éclat. Une fulgurance. Mais ils ne laissent rien. Quand tu te retournes, ils sont déjà partis en fumée. Leur vie est un éclair. »
Je me tais. Il parle de moi. De cette part de moi qui voudrait aller plus vite. Mais je le laisse dire. J'observe le thermomètre. Le mercure hésite. J’attends. Dix degrés suffiraient.
« Et puis il y a les autres », poursuit-il. « Ceux qui brûlent comme un rondin épais. Leur feu, tu le sens avant de le voir. Il monte doucement. Et quand il est là, il réchauffe longtemps. »
« On ne choisit pas le bois dont on est fait. Mais on peut choisir la manière dont on brûle... »
« Ce n’est pas la flamme qui compte », murmure-t-il. « Ce n’est jamais la flamme. C’est ce qui reste après. Ce sont les braises, celles qui continuent de chauffer, longtemps après que le feu s’est éteint. C’est là que tout se joue. » « On ne choisit pas le bois dont on est fait. Mais on peut choisir la manière dont on brûle. La fougue, c’est beau quand on est jeune. Plus vieux, on se brûle les ailes. »
Le poêle fait son œuvre. L’air de la Bennisterie se réchauffe enfin. La glace se retire. Tout ici, comme moi, attendait ce souffle. Ce n’est pas un confort. C’est une nécessité vitale.
Je l’écoute encore. Ce qu’il dit dépasse le froid, dépasse l’hiver. Il parle de vie. De moi. De ce feu que j’essaie de maintenir. De cette manière que j’ai de créer des tables en bois recyclé, une à une. Ses mots se glissent dans l’air, dans la lumière qui se transforme, dans l’odeur du feu et de sciure torréfiée. Ils s’installent imperceptiblement. Comme une fièvre tranquille.
« Ce n’est pas la flamme qui compte », souffle-t-il. « C’est ce qui reste après. Ce sont les braises, celles qui continuent de chauffer, longtemps après que le feu s’est éteint. C’est là que tout se joue. »
Il se lève sans hâte, rayonnant d'un charisme feutré. Il laisse cette phrase dans l’air : « On ne choisit pas le bois dont on est fait. Mais on peut choisir la manière dont on brûle. La fougue, c’est beau quand on est jeune. Plus vieux, on se brûle les ailes.»
Créer une table en bois recyclé : le feu de la patience
J’amorce l’assemblage. La colle prend enfin. Les planches se joignent sous mes doigts. Tout devient fluide. J’avance lentement. Le dessus de meuble que je construis ici va me survivre. Il portera en lui ce feu que j’apprends. Celui qu’allume la patience. Dans le silence de la Bennisterie, le temple du bois des bennes et de la décoration intérieure.
La chaleur envahit tout, maintenant. Mes mains, mon esprit. J’amorce l’assemblage. La colle prend enfin. Les planches se joignent sous mes doigts. Tout devient fluide. J’avance pas à pas. La table de réunion de Stanislas, que je construis ici va me survivre. Elle portera en elle ce feu que j’apprends. Celui de la patience. Dans le silence de la Bennisterie, le temple du bois des bennes et de la décoration intérieure.
Comment personnaliser son plateau ?
Faites réinterpréter le modèle de votre choix et couronnez une nouvelle table bistrot, un banc télé, une console atypique ou une table de réunion urbaine.
Pour couronner une nouvelle table bistrot au style traditionnel, un banc télé indus-vintage, une console au design atypique ou une table de réunion urbaine, vous recherchez un plateau à la fois épais et élégant ? Faites réinterpréter le modèle ‘Le Boiseux’ de votre choix.
Par où commencer ?
Communiquez-moi l’image du plateau ainsi qu’une description de votre projet de décoration (dessus de buffet, étagère, table de repas...). Partagez les dimensions, les tons et les teintes qui correspondent à vos impératifs et/ou envies.
De mon côté, je vous adresserai une étude personnalisée (et sans engagement de votre part), incluant les réponses à vos questions, les frais de port et les délais de fabrication.
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Démystifier le processus de création
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Pour se familiariser avec l’esprit ‘Le Boiseux’ et ainsi percer les secrets de fabrication, ne pas hésiter à plonger dans l'ambiance de l'atelier, à flâner d’un établi à l’autre et à tendre l’oreille : le dessous des plateaux y est, dit-on, conté avec humour et dérision.
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