Ils se plient sans se rompre
Sans se rompre, ces plateaux se plient à l’espace dont vous disposez, aux formats et à l’aspect désirés, au type d’ambiance que vous souhaitez créer
Espace, formats, ambiance
L'un des plateaux de cette fournée vous inspire ? Faites-le rayonner de votre personnalité. Sans se rompre, ces dessus de tables se plient :
- à l’espace dont vous disposez
- aux formats et à l’aspect désirés
- au type d’ambiance que vous souhaitez créer
Plateaux livrés en France et en Europe, traités, prêts à l'emploi
Nettoyage facile, pratique au quotidien
L'un de ces plateaux vous inspire ?
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En quête d'inspiration ?
L’offre artisanale et commerciale Le Boiseux se décline aux formats standards et aux dimensions de votre choix.
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L'offre complète
Vos plateaux en circuit court
De ses mains, Le Boiseux rend palpables vos aspirations et invente, avec vous, une histoire en circuit court
De ses mains, Le Boiseux rend palpables vos aspirations et invente, avec vous, une histoire en circuit court :
Le casque sur les oreilles, l’esprit libre
Cette chanson octroie sa poétique aux copeaux qui, d’ordinaire, tombent muets, apaise les poussières agitées du bois des rues, et transmet, inéluctablement, sa vitalité aux plateaux en devenir.
Pénétrer dans l’atelier froid comme une institution. Refermer la porte sur le réel. Poser le casque sur les oreilles. Choisir un son et se laisser transporter par une voix. Poignante. Celle d’Amel Brahim Djelloul. L’esprit libre de toute fioriture, "Ay Al Xir Inu", une berceuse pour petits et grands, tourne en boucle. Puis fermer les yeux et inspirer à plein poumons : simultanément, les essences de bois et la musique pénètrent le corps de l’artisan et le parcourent tel un paquet d’échardes. Comme on convoque sa jeunesse, Le Boiseux convie cette chanson pour accompagner ses gestes et ses pensées. Après un tour du monde, cette reprise talentueuse, écrite dans les années soixante-dix au fin fond de la Kabylie par feu Idir, fait une halte dans ce petit atelier du sud ouest où elle trouve écho. Celle-ci y octroie sa poétique aux copeaux qui, d’ordinaire, tombent muets, apaise les poussières agitées du bois des rues, et transmet, inéluctablement, sa vitalité aux plateaux en devenir.
« Des larmes, dit Le Boiseux ? Quelles larmes ? J’ai une poussière dans l’oeil. »
Flânez entre tréteaux et établis, parmi les partitions fines, et, tant soit peu, en bas de chacune des pages de ce blog, et débusquez le cliquetis, le petit son, embryon d’un refrain bien de vous.
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