Passer une couche de vernis

L'idéal serait de pouvoir entretenir vos plateaux une à deux fois, à 6 mois d'intervalle, par un vernis de votre choix : un petit pot de 0.25l pour un meuble (bien refermé, se conserve assez longtemps) est amplement suffisant. C'est d'autant plus vrai pour les meubles à usage intensif, tels que les plateaux de tables de restaurant ou de salle à manger...

Matériels et produits nécessaires

- Feuille(s) de papier abrasif 240 ou plus

- Chiffon

- Huile pour meubles ou parquets (facultatif)

- 1 pinceau à longs poiles

- 1 pot de vernis

Comment procéder : étape par étape

1 - Poncer 1 : à l'aide d'une feuille de papier de verre (grain fin 240 ou plus) enroulée autour d'une cale en bois ou d'une grande éponge, poncer la partie du meuble tachée

2 - Épousseter : aspirer la poussière et essuyer avec un chiffon humide

3 - Vernir au pinceau : dans le sens des fibres du bois, puis à la perpendiculaire, appliquer une couche de vernis. Laisser sécher 24h.

4 - Poncer 2 : à l'aide d'une feuille de papier de verre (grain très fin 280 ou plus) enroulée autour d'une grande éponge ou d'un chiffon. Épousseter (chiffon humide).
Votre meuble est réhabilité.

L'entretien au quotidien

Trucs de © Boiseux ©

Proximité et service 'Le Boiseux'

Sur des plateaux qu'il compose un à un, avec à l'esprit vos impératifs propres, Le Boiseux écrit, avec vous, une histoire sur mesure, de l'atelier à l'assiette :

L'acheminement de votre commande dans les meilleures conditions (?)

L’engagement Le Boiseux se poursuit via la garantie à vie (?)

Devis détaillé, incluant frais de port et délais de fabrication (?)

Un savoir-faire validé par les professionnels, en France et en Europe (?)

Bois de villes pour plateaux urbains et polis (?)

Vos tables ‘direct producteur’, sans intermédiaire ni mandataire (?)

Fabrication artisanale : inventer, avec vous, une histoire sur mesure (?)

Prendre le copeau par les cornes

Venu d’Inde par la voix de Rajesh Khanna, et issu de l’album Disco Dancer avec Mithun Chakraborty, Goron ki na kalon ki, un hymne à la vie, apparaît et se propage parmi les crève-la-dalle d’Afrique et d’Asie : tantôt celui-ci les apaise, tantôt il détermine ceux qui ont le moins à perdre.

En réécoutant cette mélodie digne, poignante et enthousiasmante à la fois, la fibre nostalgique lancine de nouveau Le Boiseux comme une écharde sous l’ongle, et le stimule, plus que jamais, à prendre le copeau par les cornes et à battre la mesure pour que vos plateaux en prennent note.